Chanson finale : Vive La Louise

Qu’c’est long 10 ans, ça vaut la peine de célébrer

Le fier retour des condamnés, qui connurent l’exil forcé

J’étais une orpheline, une moins que rien

Une Parisienne sans passé, une pauvre fille du quotidien

Chœurs

« Vive la Louise, Vive la Commune, À bas les Assassins. »

Gare Saint Lazare, la foule est là, joyeuses sont les acclamations.

« Elles ont lutté en sœur. » ; « Souvent perdu leur mère. »

J’ai regardé tous ces gens-là, j’ai été saisie malgré moi

« Quel est leur nom ? Quel est leur patronyme ? Ont-ils des frères ? »

Chœurs

« Vive la Louise, Vive la Commune, À bas les Assassins. »

« Moi, je suis une Mercier, M’dame », une orpheline, élevée en commun

Par ma tante et les voisins, et par des rêves de Kanaky

Où, bien malgré eux, trop des nôtres seraient partis

Nous sommes sans nouvelles, nous cherchons nos amis (X2)

Chœurs

« Vive la Louise, Vive la Commune, À bas les Assassins. »

Par leur regard, j’ai tant compris, cette chaleur humaine, elle m’a pénétré au corps

Et de leurs bras, ils m’ont tenue debout, et de leurs mains, elles m’ont accueillie 

« Si tu es là, c’est que tu n’es pas seule, seuls les égoïstes sont orphelins. »

Connais-tu l’histoire des Communeux, ces femmes et ces hommes si valeureux ?

Connais-tu l’histoire des Communeuses, ces hommes et ces femmes si valeureuses ?

« Vive la Louise, Vive la Commune, À bas les Assassins. »

« Et vive Gervaise, Vive la Commune, À bas les Assassins. »

« Vive Varlin, Vive Delescluze, À bas les Assassins. »

« Et vive Hortense, Vive la Commune, À bas les Assassins. »

« Vive La Lemel, Vive Dombrosky, A bas les Assassins »

Vive Rosemonde, Et vive Maxime, A bas les Assassin »

« Vive Blanche Lefevre, Et Vive Vallès, À bas les Assassins. »

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